En Turquie, 500 000 récupérateurs contribuent à 80 % du recyclage total. Mais la captation du déchet valorisable par le secteur privé s’accentue et s’accompagne de lois excluant les « informels ». Murat, patron d’un petit dépôt, s’indigne ici contre des politiques publiques qu’il juge injustes et décidées sans concertation, ni intégration.


